LE RAPPORT AUX NORMES, À LA NORMALITÉ : UN CONTINUUM DU NORMAL AU PATHOLOGIQUE :
Les représentations et les perceptions individuelles de la normalité :
- Des termes à ne pas confondre.
- La connaissance du développement de l’enfant et des écarts inter-individuels.
- L’évaluation des représentations individuelles.
- L’impact des valeurs et des croyances sur la perception de la normalité.
Les concepts clés :
- La norme : sociale, statistique ou fonctionnelle ?
- La différenciation entre les comportements différenciés et les comportements anormaux.
- Les outils pour aider à la distinction entre comportements différenciés et anormaux.
La distinction entre troubles du développement, du comportement, de l’attachement – présentations synthétiques :
- Les troubles du développement.
- Les troubles du comportement.
- Les troubles de l’attachement.
L’IDENTIFICATION DES COMPORTEMENTS DIFFÉRENCIÉS MAIS NON PATHOLOGIQUES :
La compréhension des attentes et des valeurs professionnelles :
- L’analyse des attentes et des valeurs spécifiques du professionnel.
- La distinction entre les comportements attendus et les comportements différenciés : quelle marge laisser avant de s’alarmer ?
L’observation et l’analyse des comportements différenciés :
- Les techniques d’observation et de recueil d’informations.
- L’analyse des facteurs pouvant influencer les comportements.
- La recherche de remédiation ou non des comportements différenciés.
LA CONDUITE À TENIR FACE À UN DOUTE SUR LA PRÉSENCE D’UN TROUBLE CHEZ L’ENFANT :
La communication et la collaboration avec les familles :
- La mise en place d’une communication transparente et soutenante.
- Le partage des observations sans induire d’inquiétude prématurée.
- L’encouragement de l’échange bidirectionnel d’informations et de préoccupations.
L’approche éthique et le respect des droits de l’enfant :
- La garantie de la confidentialité et de la protection des informations.
- L’évitement de toute forme de stigmatisation ou d’étiquetage.
- L’assurance que les interventions sont centrées sur l’intérêt supérieur de l’enfant.
Les stratégies d’intervention au sein de l’EAJE :
- L’adaptation des activités et de l’environnement aux besoins spécifiques de l’enfant.
- La promotion d’une inclusion positive et respectueuse.
- La formation continue de l’équipe sur les besoins particuliers et les stratégies d’intervention.
La collaboration avec des professionnels externes :
- L’établissement de liens avec des spécialistes du développement de l’enfant.
- L’organisation d’évaluations spécialisées si nécessaires.
- La mise en œuvre des recommandations et ajustements des pratiques en conséquence.
L’élaboration et le suivi d’un plan d’accompagnement individualisé :
- La définition des objectifs et des stratégies d’intervention en collaboration avec les spécialistes.
- L’implication des familles dans le développement et le suivi du plan.
- L’évaluation régulière de l’efficacité des interventions et ajustements nécessaires.